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mercredi 25 février 2015

Les 4 temps forts de la femme : OMNIPRESENTE

C’est le matin, qu’ elle accepte  d’être  mère et  porter le Bébé dans son sein.

A midi, elle  se préserve de tout  les dangers qui la guette en s’ assumant .  Surmontant  toute  la période maussade elle  la transforme  en une période de joie infinie .  N’est  -ce pas   qu’elle mérite la paix et la considération  dans  un monde civilisé ?

Le soir venu,   élève le bébé, de sa  fonction de mère, de protectrice de la vie plein de d’amour et d’affection, la première  à  lui sourire à lui apprendre le premier mot.  Elle encadre l’enfant, l’accompagne jusqu’à l’âge de la scolarité.  Souvent   en  revenant de l’école la  femme, la mère porte  l’enfant et  son sac

Observant  son enfant  avec  toute  l’admiration, lorsque  celui-ci somnole,  elle l’amène au lit parfois chantonnant pour aider l’enfant  à s’endormir paisiblement , c’est sa prière . Le caressant pour lui rassurer de sa présence lui souhaitant  bon sommeil : «  dors bien mon amour »  murmure- t -elle intérieurement.  Enfin,  elle s’éclipse doucement, discrètement pour ne pas gâcher ce beau  moment  de repos pour  toutes les  deux personnes ,ou encore pour toute  la famille : C’est la nuit , les quatre  temps  simplement  accomplis.

Elle a porté l’enfant dans son sein, elle l’a nourrit, en lui donnant la vie, elle se rassure et s’assure des efforts conjugués,  et le voit devenir une personnalité importante de la société.  Cependant, elle sait, accepte que cet enfant qui a grandit se sépare d’elle un jour  pour aller fonder son propre foyer et ainsi rendre éternelle  la race humaine.

La femme ne peut que se réjouir de la mission laborieuse accomplie avec amour.  C’est avec  joie,  la quiétude de l’âme, parfois  additionnée  à un peu de tristesse au moment de la séparation  nécessaire pourtant, un moment triste à pleurer pour la femme, mais se retenant parce que la mission si bien menée.

L’échange de coup d’œil complice, esquissant d’un sourire juste pour rappeler à l’adulte qui s’en va fonder son foyer, de se souvenir de toutes les conversations, de tous les entretiens, toutes les échanges nourris entre la femme et l’enfant-adulte qui doit s’organiser, mettre toutes les batteries en marche pour être un(e) bon(ne) partenaire, sans oublier toutes les astuces comme convenues - un bon citoyen pour la nation - j’imagine que la première pensée du citoyen pour  mère  serait :« tu es la meilleure de ma vie,  ma.  Les deux complies se reconnaissent dans leur communication. Tout est  bien qui finit bien.  « All is good which ends good » (shakespear)

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