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lundi 24 août 2015

La Rentrée Scolaire

Les parents et leurs devoir et contraignante obligation d’assurer l’éducation des enfants sont deux éléments sans rapport du point de vue financier et matériel  n’ayant pas le choix les responsables des familles agissent péniblement d’où la solution c’est le sacrifice qu’endure généralement les parents pour assurer l’avenir de leur progéniture.
Le leitmotiv des parents est simplement que ces enfants deviennent des citoyens affranchit en vue de se prendre en charge et d’assurer la survie en devenant des personnalités importantes et dans la vie et utiles pour la société.
- La politisation du système éducatif ;
- Le faible budget accordé au secteur éducatif (l’un de plus faibles au monde) ;
- Le manque de considération sur les  impératifs essentiels de l’éducation, constituent les quelques déficiences relevées à la conférence nationale  souveraine (199 1-1992).
Que nos décideurs aient la volonté de revisiter le programme et son contenu par rapport au profil du citoyen que nous voulons former en tenant compte de notre société. Aussi, de revaloriser le salaire des enseignants pour accélérer la marche vers de le progrès.
«  Le destin d’une société reste dans ses propres mains et dépend substantiellement de ses  propres choix » J. Diamond.
Maintenant la période « trouble » qu’est la rentrée scolaire a commencée, les parents s’attèlent à s’organiser pour s’acquitter des plusieurs obligations telles que le payement des frais scolaires exigés avant la rentrée de classe pour confirmer les places dans les complexes scolaires, l’inscription ou l’achat des uniformes et objets classiques… Les parents ne peuvent que se casser en mille morceaux pour y parvenir et y réussissent malgré les difficultés.
Nos applaudissements.

Le cas de la République Démocratique du Congo

Les propos du Ministre des finances ont été positifs et déterminants devant le Senat « la promotion de l’entrepreneuriat est une activité d’extrême importance. On ne peut pas imaginer qu’une nation aussi importante comme la République Démocratique du Congo n’ait pas une classe moyenne » a-t-il affirmé. Pour le Ministre des finances, la classe moyenne est une catégorie d’opérateurs qui doit se développer dans différentes activités nationales de manière à ce que le gouvernement les prenne en charge au niveau des activités économiques. Il poursuit en disant « Il faut la mise en place d’un cadre juridique pour ce faire. C’est le leitmotiv de son déplacement auprès de la chambre haute. Enfin, il a indiqué que le gouvernement de la République Démocratique du Congo s’impliquera dans l’application des engagements pris dans le cadre de cette loi, vu son importance pour les entrepreneurs nationaux nous souhaitons que cette disposition ne souffre pas du syndrome de non applicabilité. 

Cette réflexion cadre avec le contenu du projet de société de notre Parti « ARC » Alliance pour le Renouveau du Congo. Il prône le développement des dons, talents et capacité avec l’accompagnement du gouvernement ou les autorités publiques et privées dans l’application des valeurs de justices, de dignité et de solidarité pour l’intérêt général et l’épanouissement de chacun à son niveau quelque soient ses origines, sexe, âge, race, nationalité, religion, conviction, situation sociale ou état de santé.
La classe moyenne est un trait d’union entre la haute et la basse classe et regorge un pourcentage important en terme de ressources humaines.
En conclusion, la prise en compte d’encadrement des entrepreneurs apportera un impact significatif dans le processus du développement national.

Notre réflexion sur l'entreprenariat

A notre humble entendement, la lutte contre la pauvreté et l’aide l’appuis ou l’accompagnement des entrepreneurs devrait constituer l’une des priorités du programme  du gouvernement.

Nous ne cesserons d’en parler dans nos articles. Ce sujet pertinent cible aussi bien les domaines de la bonne gouvernance, la jeunesse et le changement social, les jeunes licenciés au chômage, la différence entre la formation et le monde professionnel etc.
L’encadrement des entrepreneurs est très faible, le taux de chômage est accentué au finish la débrouille prend place. Ce phénomène est facilement remarquable autour de nous du fait de la forte proportion des jeunes qui finissent les cycles secondaire, graduat et licence. Aussi, à la fin de l’enseignement professionnel, technique, artisanal ou métiers, renforcement des capacités (modules des formations assurées par les ONG, ASBL etc.)Ces jeunes aptes mais ne travaillent pas alors il est difficile pour eux de s’insérer du point de vue économique et social car la précarité de la vie sociale la démontre.
« La jeunesse avenir de demain » reste un slogan ? les talents se meurent faute de suivi, ce gap freine l’élan du décollage de la situation socio-économico-culturelle alors qu’évoluer avec le monde c’est l’intervention des jeunes dans les structures de la vie sociale. Ceci s’avère très important à ce jour.
L’accès au financement est restreint étant donné la complexité des conditions exigées. Par conséquent, les anciens et nouveaux venus dans le monde de l’entrepreneuriat ne savent pas à quel saint se vouer et leur évolution.