A notre humble entendement, la lutte contre la pauvreté et l’aide l’appuis ou l’accompagnement des entrepreneurs devrait constituer l’une des priorités du programme du gouvernement.
Nous ne cesserons d’en parler dans nos articles. Ce sujet pertinent cible aussi bien les domaines de la bonne gouvernance, la jeunesse et le changement social, les jeunes licenciés au chômage, la différence entre la formation et le monde professionnel etc.
L’encadrement des entrepreneurs est très faible, le taux de chômage est accentué au finish la débrouille prend place. Ce phénomène est facilement remarquable autour de nous du fait de la forte proportion des jeunes qui finissent les cycles secondaire, graduat et licence. Aussi, à la fin de l’enseignement professionnel, technique, artisanal ou métiers, renforcement des capacités (modules des formations assurées par les ONG, ASBL etc.)Ces jeunes aptes mais ne travaillent pas alors il est difficile pour eux de s’insérer du point de vue économique et social car la précarité de la vie sociale la démontre.
« La jeunesse avenir de demain » reste un slogan ? les talents se meurent faute de suivi, ce gap freine l’élan du décollage de la situation socio-économico-culturelle alors qu’évoluer avec le monde c’est l’intervention des jeunes dans les structures de la vie sociale. Ceci s’avère très important à ce jour.
L’accès au financement est restreint étant donné la complexité des conditions exigées. Par conséquent, les anciens et nouveaux venus dans le monde de l’entrepreneuriat ne savent pas à quel saint se vouer et leur évolution.
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