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lundi 24 août 2015

Le cas de la République Démocratique du Congo

Les propos du Ministre des finances ont été positifs et déterminants devant le Senat « la promotion de l’entrepreneuriat est une activité d’extrême importance. On ne peut pas imaginer qu’une nation aussi importante comme la République Démocratique du Congo n’ait pas une classe moyenne » a-t-il affirmé. Pour le Ministre des finances, la classe moyenne est une catégorie d’opérateurs qui doit se développer dans différentes activités nationales de manière à ce que le gouvernement les prenne en charge au niveau des activités économiques. Il poursuit en disant « Il faut la mise en place d’un cadre juridique pour ce faire. C’est le leitmotiv de son déplacement auprès de la chambre haute. Enfin, il a indiqué que le gouvernement de la République Démocratique du Congo s’impliquera dans l’application des engagements pris dans le cadre de cette loi, vu son importance pour les entrepreneurs nationaux nous souhaitons que cette disposition ne souffre pas du syndrome de non applicabilité. 

Cette réflexion cadre avec le contenu du projet de société de notre Parti « ARC » Alliance pour le Renouveau du Congo. Il prône le développement des dons, talents et capacité avec l’accompagnement du gouvernement ou les autorités publiques et privées dans l’application des valeurs de justices, de dignité et de solidarité pour l’intérêt général et l’épanouissement de chacun à son niveau quelque soient ses origines, sexe, âge, race, nationalité, religion, conviction, situation sociale ou état de santé.
La classe moyenne est un trait d’union entre la haute et la basse classe et regorge un pourcentage important en terme de ressources humaines.
En conclusion, la prise en compte d’encadrement des entrepreneurs apportera un impact significatif dans le processus du développement national.

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