Le Parrain

 1. Il a de l'esprit il est intelligent plein des ressources plein d'inventions et adresse. Il est "clever" il a la conscience regardant, Il est promoteurd’idées, empêche la surprise, il se porte garant dans la société savante, il st ingénieux il présente l'enfant ou le couple aux fonds baptismaux père spirituel, etc. (Larousse).

   2. Le parrain se sent concerné et responsable, il assure le suivi, il est apprécié dans la famille. Quand il est choisit, il revêt le caractère  d’un membre de la famille et de l’aîné à notre humble avis.

   3. Le parrain auquel nous faisons allusion dans notre article est tout celui qui accompagne presque du reste tout les membres de la famille il les encadre. Il prend l’engagement sur les finances, il est présent à presque toutes les manifestations de la famille d'où sa présence reste précieuse.

4.4. Le parrain est une bonne référence, il oriente et est écouté, il représente le parent. Indexé positivement, il se sent respecté apprécié nous pensons qu’il se complait et accepte ce rôle de premier plan.

5.      Ainsi le parrain reste et restera le modèle dans nos familles, sa disparition écœure et laisse un vide il est un être cher très cher il le sait et son point de vue est facilement adopté à l’unanimité dans nos familles.

Photo Google

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LA FACE CACHEE

L’agriculture : premier pilier du développement

Le projet que nous présentons cadre avec le profil des projets d’investissement en République Démocratique du Congo dans le domaine agricole avec impacts positifs pour des fins de commercialisation de manière appuyée par des organisations pour l’alimentation et l’agriculture.

En général, toute personne est bénéficiaire de ce projet, en particulier les congolais ou les kinois car il est créateur des services et d’emplois pérennes. Les sociétés agroalimentaires utilisent industriellement les dérivés des palmiers sont d’office des consommateurs ou acheteurs potentiels.

L’optimisation de la production nous permettra de quitter le stade d’une agriculture saisonnière, vivrière et manuelle pour atteindre une agriculture intensive et mécanisée.

TAXI MOTO

Par solidarité, ils n’hésitent pas à vivre ensemble, deux, trois ou quatre motocyclistes se choisissent une maison à deux chambres et un salon. Leur seule prière est que le bailleur soit coopératif et compréhensif. Cette solidarité les poussent jusqu’à céder facilement la moto, l’un à l’autre en cas de panne, de sorte que le room mate ou le colocataire soit capable de réunir le montant convenu pour honorer l’obligation de payer le loyer à la fin du mois.

Photo Regine Sona- Les motards à Lutendele

 Ce devoir mutuel, moral et réciproque a pour objectif de permettre à chaque colocataire de se trouver enfin, un jour, un logis, un foyer. L’entraide positive de toute sorte est d’une durée sans interruption.

Le quartier périphérique comme le notre est habitée par une population a revenu modeste. Deux mouvements le caractérisent : 1 les gens qui vont vers le centre ville où se trouve l’administration c’est-à-dire dans la commune de gombe et ceux qui vont vers mbudi-luntendele dans la commune de Mont Ngafula.

.Les voies d’accès sont très peu urbanisées, qu’il faille que les décideurs trouvent un mécanisme pour moderniser les routes. Le quartier en construction dans lequel on trouve beaucoup des chantiers que des maisons en phase de finissage. En chaque fin d’année scolaire la population s’ajoute.

L’inexistence des voies d’accès est un fait réel, les initiatives d’aménagement sont tres peu envisagées et les moyens d’assurance limités ces problèmes ont engendrés la nécessité de développer le phénomène des "motards".

LA CONTRIBUTION DES ENFANTS / ELEVES A LEUR PROPRE SCOLARITE

Photo Regine Sona

La prise en charge des grands jeunes à leur propre formation est un fait à  encourager car à défaut de se substituer en parlementaires debout. Il exécute ce job qui leur permet de se prendre en charge, en se procurant certains besoins, ne fut-ce que le minimum vital.

L’accident est vite arrivé.

Quel gâchis une fillette d une douzaine d’année s’est fait écrasé et a trouvé la mort juste parce qu’elle voulait traverser la route. Elle s’est engagé précipitamment sur l’avenue du tourisme parce qu’une cliente, une dame l’a interpellé, cette enfant transportait un bassin de pondu (feuille de manioc) sur sa tête. 

Certes, notre lecture de fait nous amène à croire que c est sa mère ou sœur qui lui a demandé cette contribution. Il est vrai, peut-être que l’enfant devrait aller à l’école l’après midi. Sa mère, occupée par les engagements de la paroisse, c’est l’enfant qui était disponible pour ce job. Ce n’était pas sa première fois qu’elle le fasse, elle avait l habitude d’aider sa famille et spécialement sa mère, dira-t-on par les proches de la famille !

LA RENTREE SCOLAIRE DEUX MOIS PLUS TARD...

L’analyse faite du climat socio-économique et même culturel nous laisse perplexe : c’est la prise en charge de cours ou leçons ratées par les élèves eux même.  Cette incertitude nous motive à dénoncer ce fait sur notre blog. L’irresponsabilité des uns et des autres.
                                      
Ces élèves sont renvoyés à la maison suite au non payement de la totalité des frais scolaires et /ou au payement partiel de ceci, hormis l’engagement effectif de frais de confirmation payés 

au sein du même établissement scolaire.