LA RENTREE SCOLAIRE DEUX MOIS PLUS TARD...

L’analyse faite du climat socio-économique et même culturel nous laisse perplexe : c’est la prise en charge de cours ou leçons ratées par les élèves eux même.  Cette incertitude nous motive à dénoncer ce fait sur notre blog. L’irresponsabilité des uns et des autres.
                                      
Ces élèves sont renvoyés à la maison suite au non payement de la totalité des frais scolaires et /ou au payement partiel de ceci, hormis l’engagement effectif de frais de confirmation payés 

au sein du même établissement scolaire.

Ces frais consistent seulement à garder sa place dans la même institution et non le minerval.  La réalité de nos milieux peri-urbains échappent à certains d’entre nous. Cependant, les parents qui se sont acquittés du devoir si magistral de payer la totalité des frais exigés n’enregistrent aucune inquiétude. L’incertitude et  le  désarrois rattrapent les responsables des élèves qui se trouvent dans la rue. Insouciants de leur sort alors que les cours continuent pour les élèves en ordre. Il n’y a pas de raison d’interrompre le programme pour les non en règle "blame yourself" (cela ne regarde que vous-même).

La responsabilité des parents et les enseignats
Notre préoccupation, entant que pédagogue et bloggeuse est celle-ci : l’enseignant aura-t-il  la grandeur d’âme de reprendre la leçon pour les élèves qui sont chassés ou ils courent derrière le programme ? Que la bonne conscience joue son rôle. Mais, le plus important c’est  l’accompagnement de ces enfants par les enseignants puisqu’ils sont aussi parents, éducateurs  pour certains.

Les cas des enseignants compatissants est de demander à ces élèves absents du cours de prendre les notes chez leurs voisins. Dieu seul sait s’ils vont réaménager l’horaire pour se rattraper. Le faire à la veille des examens est moins conseillé mais les élèves avertis supplieront leur condisciples de travailler en groupe afin de bénéficier de quelques explications possibles sur le cours pour éviter le gap causé par ce désagrément. Pour les paresseux et les non avertis, la leçon ou le cours est perdu d’avance.

Par conséquent, nous osons croire que les parents soucieux de ce problème y réservent une solution, en dialoguant avec les enfants et le corps enseignant. Bientôt la signature des bulletins pour la première période.